Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2016

Numéro DAP
12
Image d'entête
DAP 12 | Trélissac « Borie Porte » (Dordogne)
Média
DAP 12 | Trélissac « Borie Porte » (Dordogne)
date expertise
mai 2017
date achevement
février 2016
Paragraphes

Borie Porte, sur la commune de Trélissac (24), est implanté à l’est de Périgueux, en rive droite de l’Isle dont la vallée présente dès le Paléolithique un fort potentiel archéologique. Ce qui est aujourd’hui une zone d’activité d’une vingtaine d’hectares a donné lieu en 2009 à un diagnostic archéologique (Fourloubey, 2010). La mise en évidence d’une occupation médiévale originale, centrée autour de l’extraction de grèzes (limons et castines calcaires) a justifié la prescription d’une fouille sur deux secteurs distincts d’une surface totale d’1,6 ha, l’un au bas d’un versant séparant le plateau de la vallée et l’autre sur la terrasse alluviale.

Les premiers témoins structurés, présents dans les deux secteurs, sont attribués à la fin de l’âge du Fer et représentés par une fosse dépotoir ainsi que quelques structures en creux de type trou de poteau.

Mais, pour l’essentiel, les vestiges sont ceux d’une occupation médiévale comprise entre le XI-XIIe siècle et l’aube du XVe sur le terroir de Borie Porte mentionné comme repaire au XIVe siècle.

Aux XIe et XIIe siècles, un souterrain assorti d’une construction et d’une aire d’ensilage a été aménagé dans le secteur de bas de versant. De vastes fosses polylobées montrent l’activité prédominante sur cette zone : l’extraction de grèzes pratiquée au moins aux XIIIe et XIVe siècles. Un petit hameau de quatre bâtiments au minimum se développe à proximité immédiate entre le XI-XIIe et la fin du XIVe siècle. Deux bâtisses (XIII-XIVe) sont en relation probable avec cette activité d’extraction. Une autre construction, partiellement excavée, a été interprétée comme une maison ayant fonctionné du XI-XIIe au XIVe siècle. Le quatrième bâtiment est associé à une excavation complexe de type cellier du XIVe siècle.

Sur le second secteur, des réseaux fossoyés successifs structurent un espace où se pratique l’élevage bovin. Un aménagement se démarque, matérialisé par un bâtiment implanté sur une plate-forme entourée d’un fossé circulaire ; associé probablement à une basse-cour limitée par un fossé aménagé et assorti d’un talus externe, cet ensemble témoigne du statut des propriétaires de Borie Porte avant la fin du XIVe siècle. Après une phase d’abandon, un petit bâtiment sur poteaux indique une reprise d’occupation moins marquée de la zone basse entre le milieu du XVe siècle et le milieu du XVIIe.

Le mode de construction de certains bâtiments à proximité de la carrière de grèzes, caractérisé par l’association d’un bâti sur solins et d’un bâti sur poteaux, reste à ce jour singulier dans le contexte régional. L’approche d’un tel site d’extraction étant unique au plan régional comme au plan national pour cette période, il est encore impossible de savoir si les caractéristiques du bâti sont liées à la spécificité du site.

La fouille illustre bien l’histoire régionale, l’abandon du site à l’aube du XVe siècle résultant vraisemblablement d’un contexte local très agité au XIVe siècle et plus encore pendant la seconde moitié du XIVe siècle. C’est alors, qu’en lien avec la guerre de Cent Ans, le territoire de Trélissac fait l’objet de pillages et de massacres. La propriété de Borie Porte elle-même est disputée à la fin du XIVe et au XVe siècle.

Le mobilier du premier âge du Fer a fait l’objet d’une publication qui vient s’insérer dans l’axe 5 de la programmation nationale sur les âges des Métaux, notamment par l’étude du corpus céramique (Chevillot & Gineste, 2011).

En bordure d’un axe routier de première importance reliant Périgueux à Limoges (puis Paris), le terroir noble de Borie Porte, tourné vers l’élevage et l’exploitation de grèzes, se rattache également à l’axe 10 consacré à l’espace rural, au peuplement et au productions agricoles. Plus encore, le caractère élitaire original de la plate-forme circulaire intègre les thèmes de l’axe 11 portant sur les constructions élitaires, fortifiées ou non, du début du haut Moyen Âge à la période moderne.

Sommaire

Volume 1 : texte

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. ​Introduction

1.1. Aux origines de la fouille
1.2. Contexte géologique et topographique
1.3. Le contexte historique local
1.4. Cahier des charges et méthode de fouille

2. L’occupation médiévale

2.1. La zone 1 : une occupation du XIe-XIIe au XIVe-XVe
2.2. Les bâtiments

3. Les indices d’une occupation protohistorique sur les deux
secteurs

3.1. Secteur 1
3.2. Secteur 2

4. Le mobilier archéologique

4.1. L’étude du mobilier céramique médiéval
4.2. Présentation du mobilier métallique
4.3. Étude de la verrerie
4.4. Étude des monnaies
4.5. Le mobilier lithique de la fosse 3308
4.6. Étude typo-chronologique du mobilier céramique protohistorique

5. Les restes de faune recueillis sur le site de « Borie Porte » à Trélissac

5.1. Introduction
5.2. Une fosse de l’âge du Fer
5.3. Les niveaux médiévaux
5.4. Les structures en creux, cave, cellier, fosses, silos, cluzeau, ayant servi in fine de
dépotoir
5.5. Les trous de poteaux

6. Conclusion générale

7. Bibliographie

8. Liste des figures


Volume 2 : inventaires

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

GINESTE, Marie-Christine (dir.). (2016). Trélissac (24), Borie Porte - du XIe au XVe siècle : dans l'aire d'influence du repaire noble de Borie Porte (Rapport de fouille, 2 vol.). Bègles : Inrap Grand-Sud-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0140752>.

Rapport cité dans l'introduction

FOURLOUBEY, Christophe (dir.). (2010). Trelissac (24), Borie Porte (Rapport de diagnostic). Pessac : Inrap Grand-Sud-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0120336>.

Publication citée dans l'introduction

CHEVILLOT, Christian & GINESTE, Marie-Christine. (2011). Un site du Ier âge du Fer ancien à Borie-Porte (Trélissac, Dordogne). Documents d’archéologie et d’histoire périgourdines, 26, 47-66.

Citations

L’ensemble

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Le volume 1

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Vol 1, Texte. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Le volume 2

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Vol 2, Inventaires. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Auteur(s) / direction
Chronique de site
Borie Porte à Trélissac (Dordogne)
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Text

Château de Dourdan : étude du parement de la courtine sud-ouest et des salles sud-est (Île-de-France, Essonne, Dourdan)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2011

Numéro DAP
7
Image d'entête
DAP 7 | Dourdan « Château de Dourdan » (Essonne)
Média
DAP 7 | Dourdan « Château de Dourdan » (Essonne)
date expertise
juin 2012
date achevement
décembre 2011
Paragraphes

L’opération menée en 2011 sur le château de Dourdan (Essonne) et, plus précisément, l’étude des courtines sud-ouest a permis de relocaliser le logis royal (Philippe II Auguste : 1165-1223) détruit au cours du siège de 1591.
Ces découvertes et l’intérêt qu’elles ont suscité vis-à-vis de l’ensemble de ce château prestigieux, avec la réalisation d’une maquette « numérique » en 2012 (fig. 1), amènent quelques remarques complémentaires au rapport d’opération, en guise de prolongement méthodologique, sur l’interprétation des vestiges et les choix de « reconstitution ».

Fig. 1 : Restitution-reconstitution en image 3d d’après l’étude archéologique de Ph. Lenhardt, le musée du château de Dourdan et l’enluminure des Très riches heures du duc de Berry, en particulier pour la hauteur des bâtiments (DR). Source : Bouilly (Hervé). – [Restitution 3d du château de Dourdan]. In : Les châteaux qui ont fait la France [Dossier]. Le Point, n° 2101-2102, déc. 2012.

Déjà, à la fin des années 80, une première maquette traditionnelle d’architecture à forte connotation rustique (fig. 2 et 3) avait été réalisée pour présenter au public un monument reconstitué, bien différent de ce qu’on en peut percevoir aujourd’hui, c’est-à-dire un château dérasé sans toitures à l’exception de la façade d’entrée reconstruite au XIXe siècle.
Entre les interprétations de 1980, 2009 d’une part et celle de 2012 d’autre part, les différences tiennent aux observations réalisées au cours de la récente opération archéologique et à une large exploitation de l’enluminure des Très Riches Heures du Duc de Berry « mois d’avril » qui atteste que le logis royal était bien situé à cet emplacement.
En effet, la première maquette a été probablement réalisée avec une vue de l’esprit sans aucune référence précise à des données historiques du château tandis que la seconde s’appuie en grande partie sur des réalités archéologiques.

Fig. 2 : Maquette de 1982 qui donne un volume au château avec une connotation manifestement rurale ; les toitures des tours sont reconstituées ainsi que les bâtiment intérieurs (photo Guy Boulin). 

Fig. 3 : Reconstitution du château d’après la maquette de 1982 (cf. fig. 2) (Lemarchand, 2009) (DR). Source : Lemarchand (Fabienne). – [Reconstitution du château de Dourdan]. In : Les châteaux forts : sciences et techniques des bâtisseurs du Moyen Âge. Cahiers de Science & vie, n° 108, déc. 2008-janv. 2009.

Pour aborder ces questions de modélisation/recomposition, il s’avère pertinent d’utiliser les définitions que Pierre-Yves Balut (1982), qui fait référence en ce domaine, a données quant aux différentes « opérations » de restauration, restitution et reconstitution.
La restitution exprime en effet « le complément des lacunes en ayant recours en priorité aux données internes des objets étudiés et ensuite par des références à des modèles pertinents » alors que la reconstitution « donne à voir une (ou plusieurs) idée lorsque les étapes précédentes n’ont plus de réponse. Le propre de la reconstitution est donc qu’elle est invérifiable et de ce fait, nous fait sortir du champ strict de la science pour aller vers celui de la création ».
À Dourdan, les parties restituées du logis royal ont pu l’être par le recoupement des observations archéologiques effectuées sur les vestiges de maçonnerie et l’iconographie existante, celle des Très Riches Heures du duc de Berry représentant le château au XVe s. en second plan d’une scène de fiançailles (fig. 4).
En d’autres termes, une connexion a pu être établie entre les vestiges de murs de refends et leurs prolongements sur les murs et contreforts représentés sur l’enluminure médiévale.

Fig. 4 : Étude menée en 2011 qui a permis d’aboutir à une meilleure restitution en corrélant l’observation archéologique à la seule image connue du château avant sa destruction partielle, l’enluminure du mois d’avril des Très riches heures du duc de Berry (étude Ph. Lenhardt, Inrap).

En revanche, l’absence de vestiges en élévation haute n’a pas permis d’apprécier les hauteurs d’étage, de la toiture et par conséquent la hauteur totale du bâtiment.
Mais puisque les vestiges de la courtine sud-ouest présente une épaisseur de deux mètres, on peut considérer que son point le plus élevé encore en place constitue le niveau minimum à partir duquel le mur est en retrait pour laisser régner les appartements royaux dont les ouvertures sont rythmées par une série de contreforts. Pour la hauteur de l’édifice, c’est donc une restitution a minima qui a été proposée (fig. 5).
Pour la reconstitution archéologique, il existe également une seconde voie qui vise à « se mettre » dans le processus de conception de l’auteur du projet en essayant de retrouver le parti architectural adopté pour la construction d’un bâtiment, ce qui peut nécessiter d’avoir l’expérience du projet architectural.
En effet, un maître d’ouvrage – le commanditaire du projet – expose ses exigences au maître d’œuvre – le concepteur du projet – et en l’occurrence pour Dourdan, un ingénieur militaire.
Le projet doit ensuite être mis en forme selon les idées qui lui ont été exprimées en y intégrant une dimension architecturale lisible en accord avec les aspirations fixées.
Depuis le sud-ouest, le château de Dourdan présente en effet près d’une dizaine de tours y compris la tour maîtresse, ce qui caractérisent son aspect défensif puissant. Simultanément, il affiche une dimension plus « humaine » par l’aménagement d’un niveau résidentiel, l’appartement du roi situé au-dessus de la courtine au sud-ouest, ce qui n’est pas neutre.
En effet, le choix de cet emplacement est judicieux par son orientation cardinale mais aussi par les perspectives très dégagées visibles depuis les ouvertures vers le domaine situé en contrebas.
Il n’est évidemment pas possible de maintenir au droit de cet étage de représentation une épaisseur de deux mètres de mur comme la courtine l’impose car cela nuirait à l’éclairement des salles mais induirait également une vulnérabilité vis-à-vis de l’extérieur. Au contraire, dans cette configuration, une certaine confiance est affichée du côté de la royauté.
Mais, pour mettre en œuvre ce parti architectural, il est nécessaire de trouver des dispositifs architecturaux plausibles.
En effet, la réduction de l’épaisseur du mur sur l’extérieur permet de montrer explicitement depuis l’extérieur que le mur inférieur est très épais, toujours pour les mêmes raisons. Pour assurer cette réduction dans l’épaisseur tout en souhaitant réaliser un lien entre les parties basses et hautes du mur, un système de contreforts est utilisé sans que techniquement, cela soit forcément utile (fig. 5).
Ces contreforts ne font d’ailleurs encore qu’ajouter à l’effet de puissance de la courtine.
Alors tout naturellement, pour maintenir l’homogénéité du bâtiment, afin d’en respecter le parti architectural, il était nécessaire de retrouver ces mêmes dispositifs architecturaux sur la façade sur cour.
À cet effet, un contrefort pris dans un mur qui le prolongeait a été observé, parfaitement lié au mur gouttereau intérieur du logis. Ce n’était donc pas une réparation comme dans le cas où l’on retrouve un contrefort isolé (interprétation qui fut retenue pour la réalisation de la première maquette) mais bien un parti pris délibérément.

Fig. 5 : Coupe Nord-est/Sud-ouest du château : restitution du profil du logis (cf. fig. 166 du rapport pour une vue plus large) (Ph. Lenhardt, Inrap).

Ainsi, même pour un édifice partiellement ruiné, saisir son parti architectural par l’observation archéologique demeure une voie à ne pas négliger. L’exploiter permet de faire progresser sa restitution et rendre plus plausible sa reconstitution.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. État des connaissances avant l’opération

1.1 La Ville
1.2 Le château

2. Stratégie et méthode mises en œuvre

2.1 Présentation générale et contraintes
2.2 Les objectifs et méthodes

3. Résultats

3.1 Salles dites du duc de Berry
3.2 Courtine sud-ouest (partie ouest du parement interne)

4. Interprétation des sources documentaires

4.1 Les plans anciens
4.2 L’enluminure des Très Riches Heures du duc de Berry

5. Synthèse et conclusion

5.1 Données disponibles et acquises
5.2 Restitution de la volumétrie initiale du logis
5.3 Bilan des hypothèses et questionnement à l’issue de l’étude

6. Annexes

6.1 La fondrière
6.2 Géométrie d’implantation
6.3 Restitutions : maquette et image 3 D
6.4 Rapport d’activité de 1978
6.5 Étude d’impact archéologique de 1988

Bibliographie

Table des illustrations

III. Inventaires techniques

IV. Addenda


1. Étude historique
2. Éléments d’analyse et étude comparative du plan du château de Dourdan
3. Résumé du rapport de fouilles BOURGEAU, COXALL 1988
4. Glossaire des termes employés
5. Bibliographie des annexes

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

LENHARDT, Philippe (dir.). 2011. Dourdan (Essonne), "Château de Dourdan" : étude du parement de la courtine sud-est et des salles sud-est (Rapport de fouille, 1 vol.). Pantin : Inrap Centre Île-de-France. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0122045>.

Rapport de diagnostic

GOUSTARD, Vincent (dir.). (2013). Dourdan (Essonne), Cour du château de Dourdan : 10 place du Général de Gaulle (rapport de diagnostic, 1 vol.). Pantin : Inrap Centre Île-de-France. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0128412>.

Publications

PIOZZOLI, Christian. (2020). Le château de Dourdan (Essonne) : éléments d’interprétation fonctionnelle du bâti. Dans H. Mouillebouche, N. Faucherre et D. Gautier (dir.), Le château de fond en comble. Hiérarchisation verticale des espaces dans les châteaux médiévaux et modernes : Actes du 7e colloque international au château de Bellecroix, 18-20 oct. 2019. Chagny : Centre de castellologie de Bourgogne.

BALUT, Pierre-Yves. (1982). Restauration, restitution, reconstitution. Revue d’archéologie moderne et d’archéologie générale1, 95-109.

Citations

LENHARDT, Philippe (dir.), LABAT, Olivier, VIRÉ, Marc, MORANO, Roland, MITTON-FARNIÉ, Isabelle et coll. (2020). Château de Dourdan : étude du parement de la courtine sud-ouest et des salles sud-est (Île-de-France, Essonne, Dourdan) : rapport de fouille archéologique 2011. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 7). <https://doi.org/10.34692/2eyq-ec58>.

Auteur(s) / direction
Chronique de site
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