Nouvelles observations sur l'occupation laténienne (IIe s. av. J-C.) et gallo-romaine (Ier-IIe s. ap. J-C.) de Bas-en-Basset (Auvergne, Haute-Loire, Le Maray II)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2015

Numéro DAP
20
Image d'entête
DAP 20 | Bas-en-Basset « Le Maray 2 » (Haute-Loire)
Média
DAP 20 | Bas-en-Basset « Le Maray 2 » (Haute-Loire)
date expertise
janvier 2016
date achevement
mars 2015
Paragraphes

L’identification des « agglomérations ouvertes » de la fin de l’âge du Fer (IIIe-Ier s. av. J.-C.) au sein de l’actuelle Auvergne, dont les limites recouvrent celles des territoires gaulois des Arvernes (Puy-de-Dôme, Cantal, Allier), des Vellaves (Haute-Loire) et des Ambluarètes (Allier), est relativement récente. Les premières hypothèses formulées en ce sens ont d’abord concerné le bassin de Clermont-Ferrand avec la mise en évidence, vers 1980, d’une première grande agglomération, connue dans la littérature archéologique sous le nom de site « d’Aulnat », quelques kilomètres à l’est de la métropole clermontoise. Dans le courant de la décennie suivante, un second site est localisé à une trentaine de kilomètres plus au nord, à l’emplacement de l’actuelle localité d’Aigueperse. Depuis, le dossier s’est considérablement enrichi et une dizaine d’agglomérations gauloises non fortifiées sont aujourd’hui identifiées de façon plus ou moins assurée en Auvergne : Les Martres-de-Veyre, Saint-Flour, Saint-Paulien, Brioude, Bas-en-Basset ; auxquelles peuvent s’ajouter, bien que moins certaines, La Roche Blanche, Lezoux et Ambert (Deberge, Kurzaj & Lauranson, 2019). Bien que la connaissance de ces sites soit encore souvent très largement lacunaire, les fouilles réalisées sur certains d’entre eux permettent d’en préciser les caractéristiques (chronologie, taille, la structuration interne...).

Localisée dans le nord du territoire des Vellaves, la commune de Bas-en-Basset a pour particularité d’accueillir un « pôle » proto-urbain constitué de trois sites implantés à peu de distance les uns des autres : l’agglomération ouverte de « Basset », située en rive droite de la Loire et occupée principalement au cours du IIe s. av. J.-C. ; le site fortifié du « Mont Malorum » perché sur une éminence surplombant la plaine ; l’agglomération ouverte de Bas localisée en rive gauche de la Loire à mi-distance des deux sites précédents.
Si l’agglomération de Basset et l’oppidum du Mont Malorum ne sont connus que par des observations très ponctuelles, le site de Bas est un peu mieux documenté. Plusieurs diagnostics ainsi que de deux fouilles y ont été conduits depuis 2005 ce qui permet de proposer certaines hypothèses concernant son extension, sa datation et son mode d’occupation. L’intervention la plus étendue, qui reste toutefois d’emprise très limitée (2800 m² au total), a permis la mise en évidence d’une occupation stratifiée. Bien que les vestiges aient été assez largement dégradés par des terrassements pratiqués sans surveillance archéologique, cette occupation se développe de façon continue de la fin du IIe s. av. J.-C. au début du IIIe s. ap. J.-C.

Pour la période laténienne (de La Tène D1b à La Tène D2b) les aménagements mis en évidence dans les secteurs les moins impactés par les destructions récentes sont exclusivement de nature domestique. Des trous de poteau (181 ex.) et des sablières (18 ex.) déterminent des constructions qui s’installent le long d’un axe de circulation empierré. Des fosses dépotoir (36 ex.), un puits et de nombreuses soles de foyer (13 ex.) sont situées à proximité ou à l’intérieur de ces bâtiments aux sols de terre battue. Les données stratigraphiques témoignent de reconstructions réalisées à intervalles rapprochés. La densité et la superficie des aménagements construits, avec six constructions accolées qui occupent environ 270 m² d’emprise au sol, indiquent qu’il s’agit d’un site densément occupé.
Les traces d’artisanat sont absentes mais à l’inverse les amphores italiques (265 individus) et les monnaies (53 exemplaires) sont nombreuses étant donnée l’exiguïté de la surface fouillée. Il semble que ce site soit plus spécifiquement impliqué dans les activités commerciales ce dont témoigne également son implantation sur le cours de la Loire, navigable à cet emplacement, et la proximité de la frontière avec le territoire ségusiave.
Cette occupation s’apparente nettement, d’un point de vue typologique et organisationnel, à celles dégagées sur les sites de Feurs ou de Roanne, localisés en aval sur le cours du fleuve. Ces habitats groupés de la fin de l’âge du Fer, également étudiés sur des superficies restreintes, ont livré des vestiges comparables avec une chronologie toutefois étendue au plein IIe s. av. J.-C.

Pour la période gallo-romaine (Ier-IIIe s. ap. J.-C.), les résultats sont également significatifs même si, comme pour la fin de l’âge du Fer, la modestie des dégagements réalisés et la faiblesse du corpus mobilier collecté constituent des freins à l’analyse. Ces vestiges recouvrent directement les aménagements gaulois. Il s’agit principalement de constructions installées sur des fondations en tranchées, dotées de murs ou de solins maçonnés et de sols de terre battue ou en béton de tuileau. Leurs plans sont différents : sur cours à galerie de façade, à plan centré, à abside… Leur architecture semble toutefois relativement modeste avec des élévations n’utilisant que très peu les liants à la chaux.
L’organisation mise en place à la période laténienne n’est pas remise en cause et certaines constructions sont édifiées à l’emplacement même des bâtiments plus anciens dont elles reprennent les limites. Cette occupation structurée s’appuie sur deux axes viaires disposés perpendiculairement. Des structures de délimitation (fossés, palissades et murs de clôtures) contribuent à séparer ces zones de circulation des espaces privés. Ce secteur est assez densément occupé avec, sur les 2 800 m² fouillés, trois bâtiments d’une surface comprise entre 60 et 200 m² à vocation probablement résidentielle. Un petit bâtiment de stockage, des constructions annexes ainsi qu’un hypothétique balnéaire (privé ?) sont également présents. Deux puits et quelques fosses ont aussi été dégagés à leur périphérie.
Le mobilier, globalement peu abondant, permet d’envisager que cette occupation fait suite, sans solution de continuité, à l’habitat laténien et se poursuit au moins jusqu’au début du IIIe s. ap. J.-C. Comme à l’âge du Fer, les activités documentées sur le site semblent essentiellement d’ordre domestique et aucun indice probant ne signale l’exercice d’un artisanat développé ou une quelconque fonction agricole.

Enfin, il est à noter que malgré des conditions d’intervention assez peu satisfaisantes, des vestiges relativement ténus (traces de sablières basses, effondrements de parois en terre, sols de terre battue…) sont conservés, ce qui montre le potentiel du site pour documenter la diversité des solutions architecturales employées dans les constructions domestiques vellaves au cours de l’Antiquité.

Cette intervention confirme finalement la présence d’une occupation continue de la fin de la période laténienne à la fin du Haut-Empire dans ce secteur de la commune de Bas-en-Basset. Les caractéristiques des vestiges gaulois orientent vers l’hypothèse d’un habitat de type agglomération ouverte. En ne prenant en compte que les secteurs étudiés dans le cadre de l’archéologie préventive, la superficie de ce site proto-urbain avoisinerait environ 6 ha. La nature de l’occupation gallo-romaine est plus difficile à définir même si l’éventualité qu’il puisse s’agir d’une agglomération secondaire est envisageable. Une telle identification apparaîtrait en tout cas logique si l’on prend comme exemples les sites de Feurs et de Roanne où l’agglomération antique fait suite à l’habitat groupé laténien. Les aménagements dégagés à Bas trouvent néanmoins des parallèles aussi bien dans le domaine rural que sur les ensembles périurbains. Reste que d’autres vestiges antiques sont localisés à peu de distance dans ce secteur de la commune. Dans leur extension maximale, il couvre une superficie d’environ 14 ha.

Sommaire

VOLUME 1

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. Contexte de l’intervention

1.1. Origine du projet
1.2. Les étapes de l’intervention : calendrier, méthode et contraintes
1.3. Contexte géographique et archéologique

2. Résultats de l’opération de 2014 : présentation des
vestiges immobiliers et mobiliers

2.1. Position, état de conservation et densité des vestiges
2.2. Organisation générale et dynamique de l’occupation
2.3. Vestiges de la Protohistoire ancienne
2.4. L’occupation du second âge du Fer
2.5. L’occupation gallo-romaine (Haut-Empire)
2.6. Vestiges modernes et/ou contemporains

3. Synthèse

Bibliographie
Table des illustrations

Annexe : planches de mobiliers

VOLUME 2

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

DEBERGE, Yann. (2015). Bas-en-Basset (Haute-Loire) : Nouvelles observations sur l'occupation laténienne (II e s. av. J-C.) et gallo-romaine (Ier-IIe s. ap. J-C.) de Bas-en-Basset : Le Maray II : rapport de fouilles (Rapport de fouilles, 2 vol.). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0137104>.

Rapports de diagnostic

ALFONSO, Guy. (2008). Bas-en-Basset (Haute-Loire), Le Maray (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/018016>.

Publication citée dans l'introduction

DEBERGE, Yann, KURZAJ, Marie-Caroline & LAURANSON, Romain. (2019). Les agglomérations ouvertes de la fin de l’âge du Fer en territoires arvene et vellave (nord-est du Massif central, France). Dans S. Fichtl, G. Pierrevelcin, M. Schönfelder, Les agglomérations ouvertes de l’Europe celtique (IIIe-Ier s. av. J.-C.) : actes de la table ronde internationale de Glux-en-Glenne, oct. 2015 (p. 171-209). Strasbourg : MAGE. (Mémoires d’Archéologie du Grand-Est ; 4).

Citations

L'ensemble

DEBERGE, Yann (dir.), CABANIS, Manon, CAILLAT, Pierre, GARCIA, Magali, LOUGHTON, Matthew, PASTY, Jean-François, SIMON, Laure, WITTMANN, Alain. (2021). Nouvelles observations sur l'occupation laténienne (IIe s. av. J-C.) et gallo-romaine (Ier-IIe s. ap. J-C.) de Bas-en-Basset  (Auvergne, Haute-Loire, Le Maray II) : rapport de fouille archéologique 2015 (2 vol.). Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 20). <https://doi.org/10.34692/ayws-b292>.

Le volume 1

DEBERGE, Yann (dir.), CABANIS, Manon, CAILLAT, Pierre, GARCIA, Magali, LOUGHTON, Matthew, PASTY, Jean-François, SIMON, Laure, WITTMANN, Alain. (2021). Nouvelles observations sur l'occupation laténienne (IIe s. av. J-C.) et gallo-romaine (Ier-IIe s. ap. J-C.) de Bas-en-Basset  (Auvergne, Haute-Loire, Le Maray II) : rapport de fouille archéologique 2015. Vol. 1, Texte et illustrations. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 20). <https://doi.org/10.34692/ayws-b292>.

Le volume 2

DEBERGE, Yann (dir.), CABANIS, Manon, CAILLAT, Pierre, GARCIA, Magali, LOUGHTON, Matthew, PASTY, Jean-François, SIMON, Laure, WITTMANN, Alain. (2021). Nouvelles observations sur l'occupation laténienne (IIe s. av. J-C.) et gallo-romaine (Ier-IIe s. ap. J-C.) de Bas-en-Basset  (Auvergne, Haute-Loire, Le Maray II) : rapport de fouille archéologique 2015. Vol. 2, Inventaires techniques. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 20). <https://doi.org/10.34692/ayws-b292>.

Auteur(s) / direction
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Chronique de site
Occupations de La Tène finale et de l'époque gallo-romaine à Bas-en-Basset (Haute-Loire)
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Riom, Chemin des Vignes (Puy-de-Dôme, Auvergne)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2015

Numéro DAP
19
Image d'entête
DAP 19 | Riom « Chemin des Vignes » (Puy-de-Dôme)
date expertise
décembre 2015
date achevement
juillet 2015
Paragraphes

Le projet de construction d’un pavillon résidentiel est à l’origine de cette fouille de 1000 m2, située à quelques dizaines de mètres de la chapelle prieurale de Saint Don à Riom (Puy-de-Dôme). La commune de Riom est une des trois villes médiévales de la Limagne avec Montferrand et Clermont sur la voie Regordane, qui relie le bassin parisien au Languedoc. Au début du Moyen Âge, le site est à mi-distance entre Riom et l’abbaye mérovingienne de Mozac. La fouille a révélé une occupation du haut Moyen Âge (IXe s.), non stratifiée, composée d’un bâtiment d’habitation excavé et d’une petite construction sur poteaux, implantés dans deux parcelles laniérées fossoyées. Le tout est complété par des structures agraires de type fosses et fosses-silos. Si les sols médiévaux ont logiquement disparu sur ce terrain en pente à faible recouvrement sédimentaire, les comblements des structures en creux ont livré du mobilier et des écofacts abondants et dans un bon état de conservation. Ainsi l’étude du bâtiment excavé, comprenant un volet micro-morphologique, permets de proposer une restitution des élévations : les murs bâtis sur le périmètre externe du creusement, sont constitués de solins maçonnés et d’élévation en terre (pisé probable) soutenant la charpente. Un drain souterrain, réutilisant des éléments d’hypocauste de la villa antique voisine, permets d’évacuer les eaux infiltrées. Après un effondrement de tout ou partie des superstructures, le bâtiment connaît une seconde vie avec la reconstruction des murs en terre et une nouvelle charpente à deux pans reposant en partie sur des poteaux axiaux. Le sol est alors surélevé, rendant alors obsolète l’ancien système d’évacuation des eaux. 

Ce modeste habitat rural permet d’aborder les questions des productions agricoles, grace aux restes carbonisés ou minéralisés conservés dans les bâtiments et les structures de stockage. La culture de la vigne est attestée sur le site grace à l’association de pépins et de charbons de vignes, ainsi que celles des céréales et des légumineuses. Une activité artisanale est également identifiée par la présence d’outils en fer en forme de spatules associés à des fiches bélières.

Cette étude s’inscrit naturellement dans l’axe 10 de la programmation du CNRA consacré à l’espace rural, à ses peuplements et à ses productions agricoles. Ces problématiques ont été abordées sur le plan régional par le projet collectif de recherche  sur l’habitat rural auvergnat et bourbonnais. Celui-ci a fait l’objet d’une publication comprenant des synthèses - notamment sur les structures d’habitat  et les productions agricoles - alimentées par des notices monographiques (Charmoillaux & Gaime, 2019).

Concernant le site de Saint-Don, il présentait l’image d’un habitat bien structuré, avec une organisation spatiale cardinalisée. Les études de l’instrumentum, de la céramique et du verre permettaient d’évoquer la vie quotidienne et les activités de ses habitants. Quant au terroir, les études paléoenvironnnementales suggèrent une mosaïque paysagère avec des champs de blé amidonnier, de millet et d’orge qui devaient côtoyer des vignes, des pâturages, des prairies et une chênaie-hêtraie dans les environs.
Le site semblait toutefois déconnecté des deux occupations antérieure et postérieure voisines, à savoir un établissement agricole antique dont les bâtiments en dur se développaient à une centaine de mètres au sud-est de l’emprise (Vernet, 1995) et la chapelle « romane » de Saint Don, vestige d’un prieuré rattaché à l’abbaye Saint-Amable de Riom, à cinquante mètre à l’est.
Depuis cette première intervention, trois diagnostics et deux fouilles supplémentaires ont eu lieu sur les trois parcelles adjacentes de la première intervention, à l’est, au sud et au sud-est, ce qui porte la fenêtre d’étude à 4000 m2. Par ailleurs, le recouvrement sédimentaire de la troisième fouille, localisée en bas de pente, permet d’établir une stratigraphie complexe pour un site en milieu rural.
Les nouvelles interventions ont révélé des occupations de l’antiquité tardive en lien avec la villa voisine, une aire funéraire évoluant vers un cimetière paroissial (étude de V. Gallien dans Gauthier, 2021) contemporaine de l’habitat rural de la première fouille. Des phases d’habitat, avec des bâtiments excavés puis de plain-pied entre les Xe et XIIe s. ont également été mis à jour. Quant à l’ensilage, il perdure jusqu’au début du XIIIe s.

Cette modeste fenêtre d’observation permet de percevoir la genèse et l’évolution spatiale d’un petit habitat groupé des deux premiers Moyen Âge, en bordure de la Grande Limagne auvergnate, avec une variété de structures absentes des sites du corpus publié dans la synthèse régionale. Un projet de monographie du site est logiquement en préparation.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. Introduction

1.1. Conditions d’intervention : origine, objectif, déroulement
1.2. Les acquis : état des connaissances et problématiques
1.3. Le cadre géologique

2. L’occupation du haut Moyen Âge : Les structures de
l’habitat rural

2.1. Le fossé F2, un élément structurant majeur
2.2. Le bâtiment 1
2.3. La structure F29 : un second bâtiment ?
2.4. L’aire d’ensilage
2.5. Les autres structures

3. Les mobiliers

3.1. Le mobilier céramique par Alban Hory
3.2. Le mobilier métallique par Christian Cécillon
3.3. Le verre par Laure Simon
3.4. Les monnaies par Christian Cécillon
3.5. Autres artefacts

4. Les études

4.1. Analyse de résidus organiques dans un objet en pierre chauffé par Nicolas Garnier
4.2. Étude pétrographique des matériaux présents sur le site par Gérard Vernet
4.3. La faune par Pierre Caillat
4.4. Étude archéobotanique par Manon Cabanis

5. Les occupations postérieures de la fin de l’époque moderne et de
l’époque contemporaine (périodes 2 et 3)

5.1. Une restructuration au début de l’époque moderne : les fossés F6 et F25 (période 2)
5.2. Les traces d’occupation de la fin de l’époque moderne et de l’époque contemporaine (période 3)

6. Synthèse et discussions générales

6.1. Discussions chronologiques
6.2. Organisation spatiale et caractéristiques de l’occupation médiévale

7. Conclusion

Bibliographie

Table des illustrations

Annexe : glossaire anthracologie/carpologie

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

GAUTHIER, Fabrice (dir.). (2015). Riom (Puy-de-Dôme), Chemin des Vignes (Rapport de fouille, 1 vol.). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0138800>.

Autres rapports d'opération

GAUTHIER, Fabrice (dir.). (2020). Riom, 4, chemin des Vignes (Rapport de fouille). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes.

GAUTHIER, Fabrice (dir.). (2016). Riom (Puy-de-Dôme) : 2 impasse des Roseaux (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0139783>.

GAUTHIER, Fabrice (dir.). (2015). Une occupation carolingienne à Saint Don (Riom) (Rapport de fouille). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes.

GAUTHIER, Fabrice. (2014). Riom (Puy-de-Dôme), 4 Chemin des Vignes (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Bron  : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0132762>.

Publication

GAUTHIER, Fabrice. (2020). Un corpus inédit : les trois fouilles du village médiéval de Saint-Don à Riom. Archéopages, 47, 112-113.

Rapports cités dans l'introduction

GAUTHIER, Fabrice (dir.). (2021). Riom, 2, Impasse des Roseaux (Rapport de fouille). Bron : Inrap Auvergne-Rhône-Alpes.

VERNET, Gérard (dir.). (1995). Sépultures médiévales et vestiges antiques. Sondages archéologiques dans les parcelles n°640, 767 et 770 au lieu-dit « La Chapelle » à Riom (63) (Rapport d’opération archéologique). Bron : AFAN RAA, SRA Auvergne.

Publication citée dans l'introduction

CHARMOILLAUX, Julie & GAIME, Sébastien (dir.). (2019). Les formes de l’habitat rural au Moyen Âge en Limagne septentrionale et dans la Sologne bourbonnaise. Paris : CNRS Édition, Inrap. 456 p. (Recherches archéologiques ; 17). <https://hal-inrap.archives-ouvertes.fr/hal-02295848>.

Citations

GAUTHIER, Fabrice (dir.), CABANIS, Manon, CAILLAT, Pierre, CÉCILLON, Christian, FOURNAND, Sandrine, FRANC, Odile, GARNIER, Nicolas, GRÉLOIS, Emmanuel, HORRY, Alban, LEFÈVRE, Jean-Claude, SIMON, Laure & VERNET, Gérard. (2021). Riom, Chemin des Vignes (Puy-de-Dôme, Auvergne) : rapport de fouille archéologique 2015. Paris : Inrap. (Documents d'archéologie préventive ; 19). <https://doi.org/10.34692/ascd-bh53>.

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